byams chos sde lnga
byams chos sde lnga
Basic Meaning
This refers to a series of five texts that, according to the Tibetan tradition, Asaṅga received directly from Maitreya in the pure realm of Tuṣita.
John Canti studied medicine and anthropology at Cambridge University (UK) and qualified as a doctor in 1975. While still a medical student he met and began to study with some of the great Tibetan Buddhist masters of the older generation, especially Kangyur Rinpoche, Dudjom Rinpoche, and Dilgo Khyentse Rinpoche. After some years of medical work in northeastern Nepal in the late 1970s he went to the Dordogne, France, to complete two three-year retreats at Chanteloube, and has remained primarily based there ever since.
John is a founding member of the Padmakara Translation Group, was a Tsadra Foundation Fellow from 2001-2014, and was awarded the 2016 Khyentse Foundation Fellowship. In 2009, when 84000 first started, he was appointed Editorial Chair of 84000, and in 2020 has become Editorial Co-Director.This definitive composition of Mahāyāna teachings was imparted in the fourth century by Maitreya to the famous adept Asanga, one of the most prolific writers of Buddhist treatises in history. Asanga’s work, which is among the famous Five Treatises of Maitreya, has been studied, commented upon, and taught by Buddhists throughout Asia ever since it was composed.
In the early twentieth century, one of Tibet’s greatest scholars and saints, Jamgön Mipham, wrote A Feast of the Nectar of the Supreme Vehicle, which is a detailed explanation of every verse. This commentary has since been used as the primary blueprint for Tibetan Buddhists to illuminate the depth and brilliance of Maitreya’s pith teachings. The Padmakara Translation Group has provided yet another accessible and eloquent translation, ensuring that English-speaking students of Mahāyāna will be able to study this foundational Buddhist text for generations to come. (Source: Shambhala Publications)This dissertation is a study of the process through which Tibetan Buddhist philosophy, by synthesizing doctrines and texts into consistent models, integrates views of reality within doctrinal and soteriological systems. It consists of an analysis of the most fundamental doctrinal tension found in the Tibetan tradition, namely the apparent inconsistency of doctrines belonging to the negative Mādhyamika and to the more affirmative Yogācāra trends of Mahāyāna Buddhism. As a case study aiming to provide a first systematic examination of that problematic, the dissertation surveys and analyzes Tibetan interpretation of the set of texts referred to as the Five Treatises of Maitreya (byams chos sde lnga), and at the way those interpretations deal with the doctrinal tensions found in that set of text. In addition to providing a recension of major interpretations of the Five Treatises developed between 1100 and 1500, a detailed account is given of the model of interpretation given by gSer mdog Paṇ chen Śākya mchog ldan, a famous teacher of the Sa skya school of Tibetan Buddhism. When confronted with the features of other interpretations, Śākya mchog ldan's interpretation of the Five Treatises, which proceeds primarily by allowing a plurality of views to be maintained even at the level of definitive meaning, provides us with a new insight in the Tibetan philosophical tradition: the most fundamental dimension of philosophical reconciliation of doctrinal views, especially of the kind found in the Five Treatises, can be described as pertaining to textual hermeneutics. Moreover, Śākya mchog ldan's contribution to that domain of Buddhist thought, by placing hermeneutics at the very centre of his system of Buddhist doctrine and practice, suggests that hermeneutics is a fundamental category of all Buddhist philosophical debates, and that it should be part of any attempt to understand the Tibetan philosophical tradition.
L'Indien Prabhâkara-mitra, auteur de la traduction chinoise (entre 630 et 633 J. C.), assigne le M. S. A. à Asaṅga, qu'il qualifie expressément de « Bodhisattva ». La préface de là traduction, due à Li Pe-yo (l'auteur du Pe-Tsin chou) répète et confirme cette attribution, sans faire allusion à une révélation surnaturelle. Mais, à cette époque même, Hiuan-tsang apprend dans les couvents de l'Inde à classer le M. S. A. parmi les textes sacrés révélés à Asaṅga par Maitreya. Jusque-là, au témoignage de Paramârtha et des traducteurs chinois du vc siècle, le Saptadaçabhûmi çâstra (ou Yogâcâryabhûmi çâstra) avait seul passé pour révélé.
Un demi-siècle après Hiuan-tsang, Yi-tsing, qui n'est pas comme Hiuan-tsang un adepte de l'école Yogâcâra, continue à classer le M. S. A. parmi « les huit branches » (pa tchi) d'Asanga, où il fait entrer pêle-mêle et de son propre aveu plusieurs traités de Vasubandhu.
Chez les Tibétains[1], le M. S. A. est unanimement rangé dans les « Cinq çâstras de Maitreya », et il en ouvre la série. Mais les vers seuls sont attribués à Maitreya ; la prose qui commente ces vers est tenue pour un ouvrage à part, sous le titre de Sûtrâlaṃkâra-bhâṣya, attribué à Vasubandhu. La traduction tibétaine est due à Çâkyasiṃha l'Indien, assisté du Lotsava grand réviseur Dpal brcogs et autres. Je n'ai pas d'informations sur ces personnages; mais, quelle que soit leur date, Prabhâkara mitra leur est certainement antérieur ; avant le milieu du VIIc siècle, le Tibet, à peine ouvert à la civilisation, n'avait ni traducteurs, ni traductions. Nous sommes donc fondés à considérer l'ouvrage entier, prose et vers, comme dû à un seul auteur, Asaṅga. Au reste, si le tibétain distingue dans l'ouvrage deux parties, texte et commentaire, avec deux auteurs différents, le Tche-yuen lou chinois (Catalogue comparé des Livres Bouddhiques compilé dans la période Tche-yuen 1264–1294) donne à l'ouvrage entier, en tant qu'oeuvre du Bodhisattva Asaṅga, le titre fan (c.-à-d. sanscrit) de : Sou-tan-lo A-leng-kia-lo ti-kia, transcription de Sûtrâlaṃkâraṭîkâ « Commentaire du Sûtrâlaṃkâra » (Tche-yuen lou, chap. IX, in°.); en fait, cette désignation de ṭîkâ ne peut s'appliquer pourtant qu'à la prose explicative qui accompagne les vers ou kârikâs.
Le texte sanscrit est divisé en adhikâras ou « chapitres » régulièrement numérotés jusqu'au quinzième ; à partir de là les chapitres ne portent plus d'indication numérique jusqu'au chapitre final ; mais celui-ci est désigné comme le vingt et unième. Les sections marquées dans l'intervalle sont seulement au nombre de quatre ; il manque donc une unité pour parfaire le chiffre de 21. Il est probable que le dernier chapitre est à partager en deux sections, entre le vers 42 et le vers 43. Les dix-neuf derniers vers, avec leur refrain uniforme, constituent une unité bien nette comme hymne de conclusion.
Le tibétain[1] reproduit exactement les divisions du manuscrit sanscrit. Le chinois[2] représente un autre partage de l'ensemble. Le texte y est divisé en treize grandes sections, découpées d'une manière assez irrégulière en vingt-quatre chapitres. (Lévi, "Le Mahâyâna Sûtrâlaṃkâra," 7–9)
Notes
1. Outre Târanâtha, v. aussi Bouston traduit par Stcherbatzkoï, La littérature Yogâcâra d'après Bouston, Muséon, 1905, II. Il est assez surprenant de voir que les Tibétains comptent comme l'oeuvre personnelle d'Àsaṅga le (Saptadaça-)bhûmi çâstra, le seul ouvrage que la tradition ancienne assigne à Maitreya. En dehors de cet ouvrage (et, naturellement, des sections détachées qui en ont été traduites à part: Nanjio 1170, 1083,1086, 1096, 1097, 1098, 1200, 1235), le Canon chinois n'attribue à Maitreya que le Madhyânta-vibhaṅga(Nj. 1245, traduit par Hiuan-tsang), également compté comme une oeuvre de Maitreya par les Tibétains [Je laisse en dehors l'insignifiant opuscule : Sarvaçiksàsthitanâmârtha çâstra (Nj. 1315) traduit par Che-houentre 980 et 1000]. Le cas du Mahâyânasaṃparigraha çâstra offre un intérêt tout particulier. Le premier en date des trois traducteurs chinois, Buddhaçânta, en 531, présente l'ouvrage comme une « oeuvre d' A-seng-kia », dans le texte de l'édition de Corée ; mais les éditions proprement chinoises ont remplacé cette mention par « composition de Wou-tcho p'ou-sa [equals] Asaṅga bodhisattva ». La préface qui accompagne la traduction de Paramârtha, en 563, déclare que « le çâstra original (pen loun) a été composé par A-seng-kia, maître de la loi (fa che). » Hiuan-tsang, enfin, qui donne une traduction en 648, traduit fidèlement un colophon qui dit : « Moi, A-seng-kia, j'ai fini d'expliquer brièvement le Mahâyâna-saṃparigraha çâstra dans les sûtras du Grand Véhicule de l'Abhidharma », mais il présente le texte comme « la composition de Wou-tcho p'ou-sa [equals] Asanga bodhisattva ».
Wassilieff (Notes sur Târanâtha, p. 315 sq.) a tort de dire que « les cinq textes de Maitreya manquent tous [sämmtlich] chez les Chinois ». J'ai déjà signalé la traduction chinoise du M. S. A. et celle du Madhyânta-vibhâga. La version chinoise de l'Uttaratantra a échappé jusqu'ici aux recherches, parce qu'elle ne porte pas de nom d'auteur. C'est le Mahâyânottaratantraçâstra (Nj. 1236; éd. Tôk. XIX, 2) des catalogues chinois, traduit par Ratnamati en 508. Restent le Dharmadharmalâ-vibhaṅga et l'Abhisamayâlaṃkâra qui n'ont pas de correspondant connu ou reconnu en chinois. A propos des oeuvres d'Asaṅga conservées en chinois, j'ajoute encore que le Choun tchong louen (Nj. 1246; Tôk. XIX, 2), dont le titre sanscrit est restitué par Nanjio sous la forme : Madhyântânugama çâstra, est en fait — comme le titre chinois l'exprime exactement — un commentaire sur le Madhyamakaçâstra de Nâgârjuna, interprété au point de vue de la doctrine Yogâcâra.
1. La traduction tibétaine se trouve dans le Tanjour, Mdo. vol. XLIV (phi), le texte en vers va de 1 à 43b; le « bhâṣya » termine le volume, de la page 135 à la fin.
La besogne, à dire vrai, n'était pa si facile. Je ne disposais que de la copie exécutée, sous ma surveillance, par le Pandit Kulamāna, reproduction fidèle d'un original assez bon dans l'ensemble, mais parsemé de menues fautes dues principalement a la confusion de lettres analogues dans la devanāgari du Népal. Cette copie, sur papier népalais (gris au recto, jaune au verso), occupe 123 feuillets, à neuf lignes par page. L'ouvrage est complet: la seule lacune étendue se place à la suite du vers 2 de la llesection: deux feuillets avaient à cet endroit disparu de l'archétype; pour dissimuler la lacune, le copiste ancien a recouru à un procédé assez usuel ; il a copié ailleurs deux autres feuilles qu'il a insérées à la place des feuillets manquants. Je n'ai pas pu arriver à déterminer la provenance exacte de cette interpolation; mais elle vient sans aucun doute de quelque çāstra étroitement apparenté au Mahāyāna Sūtrālaṃkāra par le sujet et par le lexique. J'ai donné en Appendice à la suite du texte le contenu de ces deux feuilles: un chercheur plus heureux réussira probablement à les identifier. Les autres lacunes sont de peu d'étendue : XI, 5, une ligne; 51, deus lignes; XI, 70, deux ou trois lignes; XII, 7, un hémistiche.
La traduction chinoise, due à I'Hindou Prabhākara mitra (entre 630 et 633 J.-C.), comble heureusement toutes ces lacunes; sans elle, j'aurais dû renoncer même à éditer ce texte. C'est par une collation constante de la version chinoise que j'ai réussi—si j'y ai réussi— à dégager de mon unique manuscrit un texte acceptable et intelligible. Je n'ai pas cru devoir, sous couleur d'une « acribie ». intransigeante, étaler au bas des pages toutes les lectures vicieuses du manuscrit; Je ne les ai rapportées que dans les rares cas où ma correction affectait l'ensemble d'un mot. Je laisse à ceux qui voudront bien se référer à la copie de Kulamāna le soin de juger ce qu'a pu coûter d'efforts la constitution d'un texte présentable.
C'est de propos délibéré que je me suis refusé a faire disparaître les irrégularités d'orthographe et de sandhi de mon manuscrit. La tradition des scribes népalais a ses usages constants, par exemple la réduction du groupe ttva à ttva (bodhisatva, tatva, etc.), l'interchange des sifflantes palatale et dentale (kuçīda, kusīda, etc.); pour les textes qu'ils sont seuls à nous avoir conservés, il me paraît préférable de se conformer à leurs usages plutôt que de leur imposer les rigueurs d'un purisme théorique. le sancrit a bien assez d'uniformité pour qu'on n'aille pas effacer de parti pris les rares particularités de temps ou de lieu qui ont pu y marquer leur empreinte. Quant au sandhi, I'application mécanique des règles risque le plus souvent d'anéantir des nuances de ponctuation et de pensée exprimées justement par des infractions à ces règles.
Si j'ai préféré donner le texte en caractères devanāgarī, malgré les avantages pratiques de la transcription au point de vue occidental, c'est que nos éditions d'ouvrages bouddhiques ont chance d'atteindre une catégorie de lecteurs que nous me prévoyons pas assez peut-être tt qui mérite pourtant d'être prise en considération. Au Népal même, et par delà le Népal, dans le monde si peu accessible encore des Lamas, nous pouvons apporter ainsi à de bonnes âmes un aliment de piété qui se convertira peut-être en amorce de science: l'exemple donné par les éditeurs européens peut provoquer là-bas une imitation féconde, sauver de la destruction ou rappeler au jour des textes menacés, et activer ainsi le progrès des connaissances. L'indianisme n'est point un vain exercice de dilettantisme: derrière nos problèmes de linguistique, de philologie, d'histoire politique, religieuse ou sociale, il faut entrevoir les centaines millions d'êtres vivants que ces problèmes conditionnent à leur insu, et dont le sort est lié aux solutions qui doivent triompher.
Je manquerais à un réel devoir de gratitude si je n'exprimais pas ici mes remerciements à tous ceux qui ont collaboré à l'impression de ce livre, aux typographes de l'Imprimerie nationale, au Directeur des travaux, M. Héon, et surtout à M. Guérinot, de qui les corrections minutieuses m'ont valu des épreuves presque parfaites. Mon ami et collègue M. Finot a pris la peine de relire aussi toutes les épreuves. S'il reste encore des fautes, et je sais pertinemment qu'il en reste (un erratum sera donné à la fin de la traduction), responsabilité n'en saurait incomber qu'à moi, et à la faiblesse de la nature humaine. (Lévi, foreword, i-iii)
In pithy verses, Distinguishing the Middle from Extremes employs the principle of the three natures to explain the way things seem to be as well as the way they actually are. Unraveling the subtle processes that condition our thinking and experience, Maitreya’s teaching reveals a powerful path of compassionate vision and spiritual transformation.
Distinguishing the Middle from Extremes is presented here alongside commentaries by two outstanding masters of Tibet’s nonsectarian Rimé movement, Khenpo Shenga and Ju Mipham. (Source: Shambhala Publications)The Ornament provides a comprehensive description of the bodhisattva’s view, meditation, and enlightened activities. Bodhisattvas are beings who, out of vast love for all sentient beings, have dedicated themselves to the task of becoming fully awakened buddhas, capable of helping all beings in innumerable and vast ways to become enlightened themselves. To fully awaken requires practicing great generosity, patience, energy, discipline, concentration, and wisdom, and Maitreya’s text explains what these enlightened qualities are and how to develop them.
This volume includes commentaries by Khenpo Shenga and Ju Mipham, whose discussions illuminate the subtleties of the root text and provide valuable insight into how to practice the way of the bodhisattva. Drawing on the Indian masters Vasubandhu and, in particular, Sthiramati, Mipham explains the Ornament with eloquence and brilliant clarity. This commentary is among his most treasured works. (Source: Shambhala Publications)Modern scholarship on the Five Treatises has so far privileged studying the texts of the Five Treatises individually, not giving much importance to the concept of the Five Treatises per se and its consequences on the interpretation of the texts that form it. In the following pages I argue that, on the contrary, the notion of the Five Treatises and the idea that they form a unit is crucial enough for Tibetan interpreters that we cannot fully understand Tibetan interpretations of those texts without taking this into consideration. If we look at the way Tibetan interpreters define the category and how they form their interpretations around it, we come to the conclusion that a study of Tibetan interpretations of individual treatises cannot represent fully the influence of those texts on Tibetan Buddhist literature and thought
In order to establish that claim, having explained the concept of the Five Treatises as a unit and where that unit fits among Tibetan Buddhist scriptures, I will trace its origin and development from the recognition of Maitreya’s authorship of the Treatises to the notion that the Five Treatises form a single work. I will conclude by explaining how the study of the Five Treatises as a whole and of that concept itself allows us to understand things that the study of the texts individually cannot provide. (Turenne, introduction, 215–16)
Frauwallner's way of translating was straightforward: to remain as close as possible to the original text while presenting it in a clear and readable way in order to convey an accurate impression of its meaning. For technical terms in the source materials he maintained a single translation even when various meanings were suggested. For clarity regarding such variations of meaning he relied on the context and his explanation.
The same approach was taken by the translator of the present book. Although his translation attempts to be faithful to the 1994 edition of Die Philosophie des Buddhismus, he inserted helpful additional headlines into the text and considerably enlarged the index. All other additions by the translator are given within square brackets. Besides this, he created an Appendix, which contains one of Frauwallner's more important articles "Amalavijnana and Alayavijnana" (1951) to complement the long Yogacara section of the book, a bibliography of selective publications after 1969. The URLs for many of the source materials were also conveniently provided. (Source: Motilal Banarsidass)Prof. Dr. Klaus-Dieter Mathes is a professor of Tibetan and Buddhist Studies at the University of Vienna. His research interests include the Indian origin of the Tibetan Mahāmudrā traditions, buddha nature and the Tibetan gzhan stong tradition. He spoke with students at RYI on April 3, 2018. (Source Accessed Aug 13, 2020)
- Ratnagotravibhāga Mahāyānottaratantraśāstra
- Mahāyānasūtrālaṃkārakārikā
- Abhisamayālaṃkāranāmaprajñāpāramitopadeśaśāstrakārikā
- Madhyāntavibhāgakārikā
- dharmadharmatāvibhāga
Term Variations | |
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Key Term | byams chos sde lnga |
Topic Variation | byams chos sde lnga |
Tibetan | བྱམས་ཆོས་སྡེ་ལྔ་ ( jam chöde nga) |
Wylie Tibetan Transliteration | byams chos sde lnga ( jam chöde nga) |
Buddha-nature Site Standard English | Five Dharma Treatises of Maitreya |
Karl Brunnhölzl's English Term | five dharma works of Maitreya |
Sarah Harding's English Term | Five Dharmas of Maitreya |
Ives Waldo's English Term | five treatises of Maitreya, the five doctrines of Maitreya |
Term Information | |
Source Language | Tibetan |
Basic Meaning | This refers to a series of five texts that, according to the Tibetan tradition, Asaṅga received directly from Maitreya in the pure realm of Tuṣita. |
Term Type | Text |
Definitions | |
Princeton Dictionary of Buddhism | See page 159: In Tibetan, “the five books of Maitreya” said to have been presented to Asaṅga by the bodhisattva Maitreya in the Tuṣita heaven; they are the Māhayāna-sūtrālaṃkāra, Abhisamayālaṃkāra, Madhyāntavibhāga, Dharmadharmatāvibhāga, and the Ratnagotravibhāga (Uttaratantra). |
Tshig mdzod Chen mo | rgyal ba byams pas thogs med la gsungs pa'i chos/ mngon rtogs rgyan/ mdo sde rgyan/ rgyud bla ma/ chos dang chos nyid rnam 'byed/ dbus mtha' rnam 'byed de sde tshan lnga/ ... |